Nos membres ne sont pas mis sous silence

Un article récemment paru dans le Telegraph Journal laisse entendre qu’il y a présentement une mise sous silence en vigueur sur les ambulanciers et répartiteurs d’Ambulances NB. Le SCFP rectifie les faits : il y avait seulement un silence médiatique durant la période où les parties étaient en discussion sur l’application d’une disposition spécifique dans la convention collective.

« Il n’y a aucun silence imposé sur nos membres, il y avait seulement un silence médiatique afin de régler une question dans la convention collective; ceci est une pratique courante lorsqu’il est question d’interpréter une disposition dans une convention collective. C’est un principe de base de respect que de ne pas négocier dans les médias. La plupart des syndicats de la fonction publique suivent ce principe, c’est une question de bon sens, » a déclaré Ralph McBride, conseiller syndical de la section locale 1252.

Présentement, il y a comité conjoint avec l’employeur et la section locale qui analyse les questions de rétention, de recrutement, de la formation et d’évaluation linguistique, ainsi que la possibilité de la création de programmes de bourses afin d’attirer les étudiants dans la profession. Le comité espère être en mesure de fournir de l’information aux représentants du gouvernement en mi-septembre.

« Le SCFP a toujours démontré par ses paroles et ses actions que nous croyons dans la transparence en matière de services publics. La sensibilisation du public constitue à nos yeux une priorité. Nous allons continuer à agir sur les questions qui affectent les Nouveau-Brunswickois et Nouveau-Brunswickoises et sur la prestation des services publics dans nos communités partout au Nouveau-Brunswick, » mentionne Brien Watson, 1er vice-président du SCFP NB.