Brien Watson élu à la présidence du SCFP NB

Fredericton, 15 avril 2019 – Samedi, lors du 56ième congrès annuel du SCFP NB, près de 350 employés de la fonction publique et élus syndicaux ont voté pour Brien Waston à titre de président de la Division du SCFP NB (Syndicat canadien de la fonction publique). Stephen Drost a été élu vice-président de la Division.

Cinq candidats se sont présentés à ces élections : Andrew Hardy, Norma Robinson, Stephen Drost, Serge Plourde et Brien Watson.

Daniel Légère, president sortant du SCFP NB, avait annoncé son intention de ne pas se présenter à la présidence pour un autre terme l’année dernière.

« Je suis président depuis 14 ans.  Le moment est venu de passer à d’autres défis et de passer plus de temps avec mes petits-enfants. », dit Légère.

« Je suis honoré que les membres du SCFP me fassent confiance. Ma mission est claire: renforcer le pouvoir de nos membres, améliorer les salaires, conditions de travail et équité pour les Néo-Brunswickois », a déclaré Brien Watson.

Notre campagne ‘Négocions vers l’avant’ est maintenant bien entamée.  Je suis convaincu que Watson a tout ce qu’il faut pour non seulement maintenir, mais aussi pour faire avancer le mouvement. Brien a ce qu’il faut pour motiver ses membres et mettre fin au mandat de compressions salariales du gouvernement » ajoute Légère.

Les compressions dans le tourisme tombent au pire moment

La section locale 1190 du SCFP, qui représente les travailleurs dans les parcs provinciaux et le tourisme, dénonce la réduction de 8 millions de dollars au ministère du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture annoncé par le Premier ministre Higgs et le ministre Gauvin.

Selon Gauvin, les coupures seraient entièrement absorbées par le Tourisme, principalement dans la publicité et la promotion. « Sans la promotion, comment les touristes vont-ils savoir tout ce que notre province a à offrir ? », dit Brent Wiggins, président de la section locale 1190 du SCFP.

Alors que les économistes prévoient que le dollar canadien chutera à un niveau record de 62 cent US, la Section locale 1190 estime qu’il serait plutôt avantageux d’investir dans les travailleurs et de produire des annonces ciblant les touristes Américains.

« Ma crainte est qu’avec 8 millions de moins, nos parcs seront moins achalandés et ça va diminuer les revenus pour le N.-B.  Pour chaque dollar investi à promouvoir le Nouveau-Brunswick comme destination touristique, le retour estimé pour la province est de 3,19 $. » dit Wiggins.

« Le personnel en tourisme est celui qui fait que votre expérience dans les parcs et les attractions est un succès ou un échec. Les travailleurs de nos trésors provinciaux tels que Kings’s Landing et le Village Historique Acadien sont sous-payés; ils gagnent en moyenne 14 $/h. Une partie de ces 8 millions aurait pu être réaffectée pour fixer les taux des travailleurs occasionnels. À l’heure actuelle, ils ne touchent que 80 % du salaire d’un employé à temps plein, même s’ils effectuent le même travail. C’est une honte », a déclaré Wiggins.

La section locale 1190 représente plus de 1 500 employés, y compris des personnes de métiers, des travailleurs en entretien et des ouvriers travaillant dans les ministères des Transports et de l’Infrastructure, ainsi que du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture.

Le Budget Higgs laisse de côté les travailleurs

Ernie Steeves, ministre des  Finances du Nouveau-Brunswick, a présenté cette semaine son budget provincial.  Un document conservateur sur le plan idéologique dans lequel peu ou pas d’investissements tangibles ont été faits pour améliorer les services publics ou les salaires des travailleurs.

Cette année, les transferts fédéraux au N.-B. ont ​​été augmentés pour permettre au gouvernement provincial d’investir dans la population dans le but de relancer notre économie stagnante.  Ces transferts sont généralement destinés à stimuler le secteur public dans les hôpitaux, les écoles, les foyers de soins et plus encore. Cependant, le premier ministre Higgs a fait exactement le contraire en réclamant cet excédent d’argent et les coupes dans plusieurs ministères comme un surplus.

« Non seulement tentent-ils d’équilibrer le budget sur le dos des travailleurs en faisant des compressions, mais ils prennent également des fonds fédéraux et considèrent cela comme un accomplissent », a déclaré Daniel Légère, président du SCFP NB.

« Les 49 millions de dollars que le ministre Steeves a alloués au remboursement de la dette – qui provient de son « excédent » et de sa réduction des immobilisations – auraient dû aller aux travailleurs de première ligne, qui ont besoin d’augmentations de salaire supérieures à l’inflation. » Tout comme le reste du pays, plus de 80 % de l’économie du Nouveau-Brunswick provient des dépenses des consommateurs.

« Ce budget d’austérité manque de vision et de détermination. Il contient une petite vision pour le Nouveau-Brunswick et tente de nous contenter de notre statut de dernière place au Canada pour les salaires moyens, la croissance économique, la croissance de la population, etc. », a ajouté Légère.

Le SCFP NB s’interroge également sur les 19 millions de dollars alloués aux 49 députés pour des « dépenses discrétionnaires » dans leurs circonscriptions. « Cet argent devrait servir à maintenir et à améliorer nos services, qui sont déjà considérablement réduits », a déclaré Légère.

Malgré les mauvaises nouvelles, les actions des membres du SCFP ont eu des résultats directs sur le budget. « Le ministre Steeves a produit un document contradictoire dans lequel, d’une part, il reconnaît le besoin des travailleurs d’obtenir de meilleurs salaires, mais d’autre part, il accuse le secteur public de « suffoquer notre économie », ce qui est une accusation irresponsable et complètement fausse. Leurs vieilles accusations ne tiennent plus. Ils ne savent pas comment faire face à la pression publique et c’est signe que la mobilisation porte ses fruits », a conclu Légère.

FOYERS DE SOINS : mise à jour sur les négos

FREDERICTON – Les négociations dans le secteur des foyers de soins ont été suspendues hier soir, la tierce partie neutre – le médiateur de négociation – ayant recommandé la suspension.

Les négociateurs du SCFP sont frustrés de voir que la partie patronale et le gouvernement – qui sont maintenant tous deux ensembles à la table – ont systématiquement rejeté toute proposition d’augmentation de salaire réelle pour les travailleurs des foyers de soins.

L’employeur a proposé un contrat de trois ans, qui contient une augmentation salariale médiane de 10,5 cents par heure, tous les six mois. L’employeur a tenu à présenter à nouveau cette proposition, malgré que celle-ci a déjà été rejetée massivement par les employés des foyers de soins.

Le changement des salaires horaires des classifications les moins bien payées (telles que préposé au nettoyage, préposé à l’environnement et préposé à l’alimentation) serait de 9 cents, tous les 6 mois. Pour les classifications les mieux rémunérées (telles que les Infirmières auxiliaires accréditées et les chefs cuisiniers), cela représenterait des augmentations de 12 cents par heure, deux fois par an.

« Je n’en reviens pas, de voir comment le gouvernement refuse tout simplement de négocier un accord salarial juste et équitable », a déclaré Sharon Teare, présidente du Conseil des syndicats des foyers de soins du Nouveau-Brunswick (CSFSNB).

« Le coût de la vie (l’inflation) était à 2,1% en 2018, et a 2,3% l’année précédente. Si les travailleurs acceptaient la proposition de l’employeur et du gouvernement, ça voudrait dire une perte de salaire réelle au-delà de 2,4%. Tant que je serai présidente, je ne dirai jamais aux travailleuses et travailleurs que je représente qu’ils méritent une réduction de salaire”, a déclaré Teare.

Le syndicat est frustré par les tactiques dilatoires de l’employeur. Le SCFP soupçonne que ces efforts de blocage sont délibérés, car les avocats du gouvernement se rendent devant les tribunaux vendredi pour tenter d’obtenir une ordonnance de suspension de longue durée. Cela pourrait avoir pour effet de prolonger considérablement l’ordonnance de dix jours déjà en vigueur, privant aux travailleurs leur droit le droit de grève légale.

Les travailleurs des foyers de soins votent fortement en faveur de la grève

Fredericton  Alors que nous célébrons la Journée internationale de la femme, les résultats du vote de grève tenu hier dans les foyers de soins ont été compilés. Une majorité écrasante des travailleurs – plus de 94% des 3520 membres qui étaient éligibles a voter – on voté en faveur de la grève. Chaque sections des 46 foyers de soins ont voté en faveur de la grève.

« C’est un message ferme de la part des travailleurs au gouvernement et à l’employeur. Les membres n’ont pas fait la grève depuis 2001. Nous espérons que le gouvernement et l’employeur, l’Association des foyers de soins du Nouveau-Brunswick, nous présenteront une offre équitable avant le début de la grève », a déclaré Sharon Teare, présidente du Conseil des syndicats des foyers de soins du Nouveau-Brunswick (CSFSNB).

« Le gouvernement et l’employeur doivent écouter les résidents, leurs familles et les travailleurs.  Présentez une offre équitable à la table de négociation pour que nous puissions régler le problème de manque de personnel et de surcharge de travail dans les foyers de soins » ajoute Mme Teare.

Les travailleurs des foyers de soins sont sans contrat depuis plus de 28 mois.« Après deux ans, nous avons épuisé toutes les autres options autres que la grève. Les membres ont manifesté, distribué des dépliants dans leurs communautés, fait pression auprès des députés, fait de la publicité à la radio et à la télévision, etc. Le gouvernement et l’employeur ne nous laissent pas d’autre options que de faire la grève », a déclaré Teare.

« Heureusement, les résidents et leurs familles comprennent et nous supportent. Notre but est d’améliorer la situation pour tous. »

Un avis par écrit de 24 heures doit être donné par le Syndicat ou l’Employeur avant de déclencher une grève légale ou un lock-out.

Le CSFSNB représente plus de 4100 membres travaillant dans 45 foyers de soins financés par le gouvernement au Nouveau-Brunswick. Ils représentent les préposés résidents, les infirmières auxiliaires autorisées, le personnel chargé de la maintenance, de l’entretien ménager, de la réhabilitation, des activités ainsi que celui des services de diététique, de la buanderie et le personnel de bureau.

 

Budget du N.-B.: Higgs et Austin ne veulent pas consulter le public

Aujourd’hui, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a signalé qu’il ne désire pas consulter le public pour préparer le budget provincial de cette année.

« Contrairement à ce qu’ils ont dit au cours de la campagne électorale, le tandem Higgs-Austin cherche à éviter les consultations publiques réelles. » a déclaré Daniel Légère, président du SCFP NB.

Fredericton a déroulé le tapis rouge pour les grandes entreprises, afin d’entendre leurs réclamations en sessions privées. Le public, lui, ne peut participer que par des soumissions en ligne.

« Éviter de mener des consultations publiques, ce n’est pas une question d’argent. Ils confisquent aux citoyens leurs espaces habituels de participation et de dissidence. Doit-on être surpris qu’aucun élu du « Peoples’ Alliance » ou des Conservateurs ne s’est prononcé contre cette comédie ? » a déclaré Légère.

Interrogé sur les difficultés d’accessibilité pour les citoyens des zones rurales, les personnes âgées et ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas utiliser la voie en ligne, le personnel de Higgs a répondu : « ils peuvent écrire une lettre ».

« Si ce gouvernement désire réellement améliorer les services au N.-B., il devrait parler aux travailleurs de première ligne et aux citoyens qui dépendent de ces services publics », a conclu Légère.

À ce jour, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a prévu 7 réunions à huis clos avec des intervenants et certains ministres. Le SCFP NB dénonce aussi le fait que le public n’est pas autorisé à assister à ces réunions.

Le ministre des Finances, Ernie Steeves, devrait présenter son budget le 19 mars.

 

Les salaires des travailleurs doivent augmenter : la Banque du Canada est d’accord

La Banque du Canada (BDC) vient de geler son taux directeur en partie parce que les dépenses de consommation et l’investissement en logements ont été plus faibles que prévu. Mais il n’est pas surprenant que les ménages dépensent moins à cause de la stagnation des salaires. L’énigme à résoudre : pourquoi les salaires ne croissent pas ?

Compte tenu de la vigueur des autres indicateurs économiques, les salaires devraient augmenter plus rapidement. Le taux de chômage national est à son plus bas niveau en 40 ans. Le taux de chômage en 2018 au NB était de 8,0% – le deuxième taux le plus bas enregistré depuis 1976 (il était tombé à 7,5% en 2007, juste avant la dernière récession).

Comme l’a démontré la BDC, les salaires réels stagnants ont des effets économiques plus vastes : lorsque les ménages ont plus d’argent dans leurs poches, ils le dépensent dans leurs communautés locales.

Les salaires demeurent faibles car il à de plus en plus d’emplois précaires et de politiques d’austérité budgétaire.

C’est pourquoi le SCFP-NB renforce le pouvoir de négociation des travailleurs par le biais de notre campagne « Négocions vers l’avant », qui vise à mettre fin à une décennie de contraintes salariales imposées par la province.

-Daniel Légère, président du SCFP NB et Angella MacEwen, économiste au SCFP

Pour voir combien votre salaire à augmenté (ou diminué), consultez la calculatrice des salaires réels du SCFP à https://scfp.ca/real-wage-calculator

Pour plus d’information sur la stagnation des salaires au Canada, consultez les articles suivants:

 

 

 

Un propriétaire de foyers de soins refuse de payer ses employés

Fredericton – Ce jeudi, le SCFP NB a tenu une conférence de presse demandant une intervention du gouvernement pour régler la situation des salaires impayés aux travailleurs d’un foyer de soins spécialisés de Campbellton, le Manoir de la Sagesse.

Manoir de la Sagesse – Campbellton

En avril dernier, le Ministère du développement social avait promis de subventionner une augmentation de salaire pour les travailleurs des services de soins communautaires, un secteur particulièrement mal rémunéré. Les augmentations de salaire horaire allaient de 0,25 $ pour les employés des foyers de groupes d’adultes à 1,00 $ pour les personnes travaillant dans des foyers de soins spéciaux, avec effet rétroactif au 1er avril 2018. De leur côté, les employeurs ont aussi vu leur taux de financement ajusté d’un 15% supplémentaire, pour couvrir les coûts additionnels accompagnant la hausse de salaire.

« Il est inacceptable que M. Marc Carrière, propriétaire du Manoir de la sagesse, refuse toujours de transmettre cette maigre hausse salariale -payé par les fonds publics – à ses 25 employés de première ligne », a déclaré Daniel Légère, président du SCFP NB.

« Lisa Harris, l’ex-ministre du Développement social, avait elle-même déclaré que ces salaires, financés et mandatés par le gouvernement, devaient absolument être octroyés. Pourtant, cet employeur retient cet argent en toute impunité, alors que ces employés n’ont qu’un salaire de misère de 12 dollars de l’heure. Le SCFP-NB invite la ministre du Développement social, Dorothy Sheppard, et le nouveau gouvernement à intervenir et à veiller à ce que les salaires des 25 travailleurs soient versés avant Noël.

Daniel Légère, président du SCFP NB et Laurie Anderson, présidente des Syndicats des services communautaires du NB

« Avec des employeurs comme M. Carrière, il est facile de comprendre pourquoi nous avons besoin d’un système public pour le secteur des soins communautaires. Cela fait plus de 8 mois maintenant. Cet employeur devrait subir de réelles conséquences pour avoir gardé ce qui ne lui appartient pas légitimement », a déclaré Laurie Anderson, présidente des syndicats des services communautaires du Nouveau-Brunswick.

Les travailleurs du Manoir de la sagesse sont représentés par la section locale 5375 du SCFP.

 

 

Piquet de solidarité pour les postiers et postières à Fredericton

Des activistes communautaires, des membres de syndicats et des membres du SCFP-Nouveau-Brunswick ont ​​organisé un piquet de solidarité dans un établissement de Postes Canada à Fredericton jeudi matin. Le piquet de grève a commencé tôt jeudi matin – après 5 heures du matin – pour se terminer vers 9 heures du matin. Les employés des postes se rendant au travail dans les installations de Waggoner’s Lane ont pu rentrer au travail après 9h.

Alors que le gouvernement Trudeau a légiféré pour forcer les membres du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (le STTP) revienne au travail, les membres des communautés et les membres du SCFP estiment que cela va à l’encontre de la négociation collective libre.

La Cour suprême du Canada a rappelé aux politiciens en 2015 que le droit de grève est un droit fondamental protégé par la Constitution (voir l’arrêt Saskatchewan Federation of Labour c. Saskatchewan, 2015 CSC 4, [2015] 1 R.C.S. 245).

6 décembre: Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes

Cette journée souligne l’anniversaire du meurtre de 14 jeunes femmes en 1989 à l’École polytechnique de Montréal, tuées parce qu’elles étaient des femmes. La plupart d’entre elles étaient étudiantes en génie. L’une des victimes, Maryse Laganière, était membre du SCFP et travaillait à l’École. On se souvient aussi des femmes autochtones disparues et assassinées, des personnes transgenres et toutes celles dans nos communautés et autour du monde qui ont perdu leur vie à la violence sexiste et les survivantes qui en souffrent encore.

Presque trente ans plus tard, on doit toujours réfléchir au travail qui reste à faire.  « Pleurez-les aujourd’hui. Agissez demain. »  L’inscription au monument commémoratif du 6 décembre à Riverview est aussi un appel à l’action.

Nous partageons tous une responsabilité d’examiner son propre comportement et à dénoncer l’agression. On doit aussi éliminer les inégalités systémiques bien enracinées qui accentuent la vulnérabilité des femmes à la violence. Les survivants ont notamment besoin d’accès aux emplois stables, aux salaires et revenus décents, aux services de garde à l’enfance et services de santé mentales de qualité.

Un pas a été franchi en 2018, avec l’introduction d’un nouveau congé dans la loi sur les normes d’emploi du Nouveau-Brunswick pour les survivants de violence familiale, de violence entre partenaires intimes ou de violence sexuelle. À compter du 1er septembre de cette année, les travailleurs qui ont été victimes de ce type de violence ou dont l’enfant l’a été, ont droit à cinq jours de congé payé. Le mouvement syndical et les organismes communautaires avaient poussé pour cette nouvelle protection qui reconnaît la violence comme un enjeu en milieu de travail.

Qu’est-ce que vous et votre section locale pouvez faire ?

 

Participez à l’une des activités pour marquer cette journée au Nouveau-Brunswick en 2018 :

BATHURST –  Marche commémorative et d’action sur l’importance des relations saines, le jeudi 6 décembre, à compter de 12h15.  La marche débutera au Centre des jeunes de Bathurst et se dirigera vers le concessionnaire Hatheway Ford avant de retourner au Centre des Jeunes de Bathurst. Les gens sont encouragés à rester après la marche pour des rafraîchissements, à discuter avec les intervenants et à s’informer sur les relations saines et les sujets similaires. Pour de plus amples renseignements, téléphonez au (506) 545-8952 ou courriel : womenoutreach1@gmail.comOrganisée par la Maison de Passage House Inc., Services d’approche pour femmes et familles, le Centre des jeunes de Bathurst & Services à la famille Népisiguit.

 FREDERICTON –  Évènement de commémoration, le jeudi 6 décembre, de midi à 14h, University of New Brunswick, campus de Fredericton, Auditorium de Head Hall, au 15 Dineen Drive. Organisé par UNB Diversity Within Engineering.

RIVERVIEW – Rassemblement, le jeudi 6 décembre à 18 h 30, Centre Fr. Dan Bohan, 5, promenade Fatima, à côté de l’Hôtel de Ville de Riverview, suivi d’un vigile à la chandelle et le dépôt de roses au monument au parc Caseley.  Une collecte spéciale de produits de soins personnels des femmes sera recueillie à la porte. Organisé par le Comité du 6 décembre du Conseil de travail de Moncton et région. Pour de plus amples renseignements, veuillez téléphoner (506) 852-9609.

SAINT ANDREWS – « Café-rencontre » commémoratif, le jeudi 6 décembre, à compter de 18h30 au Collège communautaire du NB, 99 rue Augustus, St. Andrews. Organisé par le Charlotte County Abuse Prevention Network et le NBCC. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le Charlotte County Community Outreach au (506) 469-5544.

SAINT JOHN –  Service commémoratif, le jeudi 6 décembre, à compter de 18h,  au Musée du NB, théâtre Mary Oland, Market Square.  Des conférencières invitées sur les enjeux et perspectives des femmes autochtones, musalmanes, syndiquées et personnes transgenres, ainsi que des représentantes de l’équipe Sexual Assault Response, le mouvement Female Empowerment, et le Centre Coverdale pour femmes. En fin de soirée, il y aura une marche à la chandelle jusqu’au Loyalist Plaza. Pour de plus amples renseignements, contactez Chris Doran à 648-5729 (doran@unb.ca).

SHIPPAGAN  Marche contre la violence, le jeudi 6 décembre, départ à 12 h 45, à l’Université de Moncton, campus de Shippagan.  Avant la marche : des kiosques de 10h à 15h;  dîner de Nöel de 11h à 13h. Les silhouettes « témoins silencieuses » de la Péninsule acadienne seront présentes. Activité gratuite, sans inscription, ouvertes à toutes et à tous.   Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec Émilie Haché, (506) 395-7632 ou courriel : tablecontrelaviolence@gmail.com  Organisée  par le Comité permanent de la situation féminine de l’UMCS et la Table de concertation pour contrer la violence familiale et conjugale dans la Péninsule acadienne.

 

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