Les communautés rurales frappées une fois de plus!

CHIPMAN : Le ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick et Ambulance Nouveau-Brunswick, l’entreprise qui gère les services ambulanciers dans la province, semblent plus préoccupés par l’atteinte de l’équilibre budgétaire que la vie des résidents des communautés rurales du Nouveau-Brunswick.

Le syndicat qui représente les travailleurs paramédicaux, la section locale 4848 du SCFP, a été avisé aujourd’hui que le service de nuit dans la région de Chipman/Minto/Grand Lake sera réduit, dans un mois, de quatre ambulances à trois ambulances.

« Réduire le service de nuit à trois ambulances mettra en danger la vie des résidents qui vivent dans ces communautés. Les travailleurs paramédicaux sont les seuls professionnels de la santé disponibles la nuit dans cette région. Il n’y a plus d’hôpital et le centre de santé communautaire est fermé la nuit. Les travailleurs paramédicaux sont les seules personnes qui peuvent fournir les premiers services de santé », explique Trent Piercy, président de la section locale 4848 du SCFP.

« Nous sommes particulièrement préoccupés parce qu’il y a une scierie en exploitation 24 heures par jour, sept jours par semaine à Chipman. Durant l’hiver, les routes en milieu rural sont dangereuses et cela augmente le temps de réponse des travailleurs paramédicaux.

Cette décision n’aura pas que des conséquences sur la région de Chipman. L’effet se fera sentir dans toute la grande région, jusqu’à Fredericton. Lorsqu’une ambulance sera envoyée à l’extérieur de la région, un autre véhicule d’urgence devra se déplacer d’un autre endroit, et ainsi de suite. »

« Au cours des dernières années, les communautés rurales ont été frappées durement par les compressions budgétaires. Si le ministre de la Santé veut remettre les soins au centre des soins de santé, réduire le nombre d’ambulances n’est certainement pas la façon de le faire », conclut M. Piercy.

Le SCFP célèbre son 50e anniversaire

QUÉBEC:  Le Syndicat canadien de la fonction publique célèbre son 50e anniversaire, dans le cadre de son congrès biennal qui se tient à Québec du 21 au 25 octobre.

Le président national du SCFP, Paul Moist, a souhaité la bienvenue au plus de 3000 délégués, membres du personnel et invités qui participent à cet événement d’une durée de cinq jours.

« Cette semaine, nous célébrons cinq décennies de réalisations qui ont contribué à construire un Canada meilleur et des communautés où il fait bon vivre pour les travailleurs et pour tous les Canadiens », a déclaré Paul Moist lors de son discours.

« Nous avons de bonnes raisons d’être fiers et de célébrer, mais nous en profiterons aussi pour planifier et préparer le travail qui nous attend. En communiquant encore mieux avec nos membres et en travaillant ensemble, nous nous inspirerons de nos succès passés pour renforcer les régimes de retraite, lutter pour de bons salaires et bâtir un Canada plus juste pour tous», a ajouté M. Moist.

Le secrétaire-trésorier national, Charles Fleury, a aussi pris la parole devant les délégués.

« Les bases de notre syndicat sont solides. Nous avons les ressources nécessaires pour défendre nos membres et tous les travailleurs canadiens. Au cours des jours qui viennent, vous établirez nos priorités pour les deux prochaines années. Vous le ferez en gardant en tête notre défi à long terme qui consiste à construire une équipe plus forte, une équipe d’attaque pour le bénéfice du SCFP et de toute la société. Ensemble, vous nous indiquerez le cap vers un monde plus juste », a affirmé Charles Fleury.

Le leader de l’opposition officielle et chef du NPD, Thomas Mulcair, la secrétaire générale de l’Internationale des services publics, Rosa Pavanelli, et le président du Congrès du travail du Canada, Ken Georgetti, seront aussi au nombre des conférenciers. Une discussion d’experts inspirante sur les moyens à prendre pour réinventer le mouvement syndical sera également au menu du congrès.

Le congrès national biennal est l’instance décisionnelle suprême du SCFP. Comptant plus de 627 000 membres, le SCFP est le plus grand syndicat au Canada.

L’Hôpital St. Joseph opte pour un budget équilibré au détriment d’une collation aux patients

Saint-Jean : La section locale 1252 du Syndicat canadien de la fonction publique, qui représente les employés de l’Hôpital St. Joseph à Saint-Jean, est consternée par la décision de la direction de l’établissement de couper les collations des patients âgés en soirée afin d’équilibrer son budget annuel.

« Les employés ont reçu la consigne de réduire la nourriture servie en soirée sur trois étages à environ 60 personnes âgées qui attendent une place en foyers de soins », a expliqué Ralph McBride, conseiller syndicat au SCFP.

« La direction a décidé d’imposer une diète aux personnes âgées afin d’aller chercher 16 000 $ dépensés en trop au cours des trois dernières années. »

« À partir de maintenant, les employés de ces trois étages n’auront à offrir qu’une quantité quotidienne limitée de lait et un paquet de douze biscuits pour les vingt-et-un patients de chacun des trois étages. La collation en soirée sera limitée à du lait ou du jus avec un biscuit ou une rôtie. Des collations nutritives comme du yogourt et du fromage ne seront plus offertes aux patients aînés à moins que cela ne soit nécessaire en raison des besoins du patient, » a indiqué M. McBride.

« On nous a aussi informé que si un patient ne mange pas son repas de le mettre de côté et de lui redonner plus tard. Allons-nous alors servir de la nourriture qui a été exposée pendant des heures à l’air libre aux patients? »

« Le ministre de la Santé, Ted Flemming, affirmait dernièrement qu’il était temps de remettre les soins au centre du système de santé. Les hôpitaux qui réduisent la quantité de nourriture servie aux patients âgés ne respectent pas cette philosophie. Il est temps pour le ministre de joindre le geste à la parole. S’il peut payer aux directeurs généraux des Réseaux de santé Horizon et Vitalité des salaires combinés de 675 000 $ par année, il peut certainement trouver l’argent pour payer une collation nutritive à nos aînés hospitalisés », a conclu M. McBride.

L’infestation de punaises de lit aurait pu prendre des proportions encore plus grandes

BATHURST – La récente infestation de punaises de lit à l’hôpital régional Chaleur de Bathurst inquiète le Syndicat représentant le personnel de soutien qui se demande quelle proportion aurait pu prendre cette infestation si le service de buanderie au centre hospitalier avait été fermé.

« L’infestation de punaises de lit aurait rapidement pu se répandre dans d’autres centres hospitaliers et foyers de soins de la région », explique le président de la section locale 871-2 du Syndicat canadien de la fonction publique.

Selon René Doucet, l’infestation de punaises de lit a été contenue à Bathurst parce que le linge est encore lavé à l’hôpital.  « Lorsque le service de buanderie de l’hôpital fermera, la literie sera transportée par camion à Campbellton. Les draps infestés auraient alors pu facilement contaminés le camion et toute la literie avant que l’on s’aperçoive du problème. Un tel scénario aurait pu engendrer des coûts énormes puisque pour contenir l’infestation à Bathurst, ils ont du détruire les matelas et la literie.»

« Nous nous opposons justement à la fermeture des services de buanderies dans la région de Moncton, la Péninsule acadienne et dans la région Chaleur parce que nous savons que les services de buanderie jouent un rôle important dans les hôpitaux. Lorsqu’il y a des services de buanderie sur place, les risques de propager des infections associées aux soins de santé et des infestation de punaises de lit comme ce fut le cas à Bathurst en fin de semaine sont grandement diminués », de conclure René Doucet.

Une pétition circule à l’heure actuelle demandant au gouvernement de revenir sur sa décision de fermer les services de buanderies dans quatre hôpitaux de la province.

Le SCFP 4229 déplore la réduction des services à la maison de transition Passage de Bathurst

BATHURST : Les femmes victimes de violence familiale de la région Chaleur n’ont plus accès 24 heures par jour à la maison Passage House, un refuge pour les femmes victimes de mauvais traitement.

Selon le syndicat qui représente les intervenantes de la maison de transition Passage de Bathurst (la section locale 4229 du SCFP), la direction de la maison a décidé de réduire les services en alléguant un manque de financement.

« Une femme dans une situation de violence familiale peut se présenter à la maison Passage et se retrouver devant une porte verrouillée »,  d’expliquer Vicky Smith, conseillère syndicale au Syndicat canadien de la fonction publique.

« C’est malheureusement ce qui risque de se produire puisque le conseil d’administration a décidé de réduire les heures de services lorsqu’il n’y aura pas de résidentes à la maison.  Ce qui veut dire qu’une femme en détresse risque fort bien de se retrouver devant un refuge fermé ou si elle appelle de devoir laisser un message sur un répondeur téléphonique. »

«  Nous ne savons pas si la réduction des heures de travail est une tactique de négociation de la part de l’employeur ou si les difficultés financières invoquées par la direction sont réelles puisqu’elle refuse de partager avec nous ses états financiers », d’expliquer Smith.

« Nous croyons que la direction de la maison doit faire preuve de transparence puisque son budget de fonctionnement provient de la province.  Il ne devrait pas y avoir de secrets lorsqu’un groupe reçoit la plus grande partie de son financement du gouvernement.»   La maison de transition reçoit annuellement plus de 200 000 dollars du ministère du Développement social pour offrir ce service.  À cette somme s’ajoutent les fonds recueillis lors des levées de fonds.

«  Il est évidant que la direction de la maison Passage veut que toutes les intervenantes soient sur appel et travaillent uniquement lorsqu’il y a des femmes à la maison.  Sauf que la maison Passage n’offre pas
seulement de l’hébergement aux femmes dans le besoin, elle offre aussi un service d’intervention téléphonique.  En 2011, par exemple, la maison a accueilli 40 personnes et les intervenantes ont reçu 2 500 appels.  Certaines femmes ne veulent pas quitter le foyer familial ou déménager à la maison de transition, elles accèdent aux ressources par téléphone », d’expliquer Smith.

« Les femmes qui vivent de telles situations doivent être en mesure d’avoir accès à des services en tout temps.  Nous déplorons que les femmes dans le besoin de la région Chaleur soient prises en otage dans cette ronde de négociations. »

Madame Smith a expliqué que le syndicat a déposé une plainte officielle auprès de la Commission du travail et de l’emploi contre la maison Passage pour avoir manqué à son obligation de négocier de bonne foi en vertu de l’article107.1 de la Loi sur les relations industrielles.  Le syndicat a aussi déposé une plainte en vertu de l’article 35 de la Loi puisque l’employeur a changé les conditions d’emploi des intervenantes. Le syndicat a également déposé deux griefs puisque deux intervenantes ont été mises en disponibilité.

Le contrat de travail de la section locale 4228 est échu depuis décembre 2012.

Rassemblement contre les coupures des soins de la santé devant l’Assemblée législative

Un rassemblement aura lieu le 5 juin afin de protester contre les réductions de
soins de la santé à l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick, à Fredericton.
Veuillez contacter les dirigeants de votre section locale afin d’obtenir des
renseignements sur le transport offert pour vous y rendre.

Il y aura un barbecue à partir de midi. Le syndicat demande aux membres d’apporter un aliment  non périssable pour le donner à la Banque alimentaire de Fredericton.
OÙ : Assemblée législative, 760 rue Queen, Fredericton, N.-B.

QUAND : le 5 juin de 11 h 30 à 14 h

 

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MALGRÉ LES PROMESSES, LES RÉGIONS ÉCOPENT ENCORE

En 2010, le président de la Société Radio-Canada (SRC), Hubert T. Lacroix, a lancé en grande pompe son plan stratégique quinquennal titré       « 2015 : partout, pour tous ».Le projet annonçait une valorisation et un retour en force du diffuseur public dans les régions éloignées des grands centres.

Déjà à mi-mandat, force est de constater que la Société Radio-Canada n’a pas su réaliser son objectif à l’égard de la population en région qui continue d’en payer le prix.

«Les populations locales en ressentent les effets, autant à l’écran que dans leurs communautés. Parmi nos membres seulement, et ce depuis 2009, 22 % des effectifs en région ont été coupés. C’est désolant! On est en train de vider les stations, on s’explique mal cette situation, car une des trois priorités du plan stratégique est précisément les régions»,a noté Isabelle Doyon, présidente du Syndicat des employés de bureau et professionnels (SCFP 675).

Des émissions qui faisaient vivre les stations locales sont rapatriées à Montréal, avec, entre autres, l’émission Les Dragons, anciennement produite à Québec. Belle-Baie, filmée dans la péninsule acadienne et diffusée sur les ondes de Radio-Canada a été supprimée. L’avenir est aussi incertain pour des émissions telles Les Chefs, aussi produite à Québec et la Revue acadienne, produite à Moncton.

«Le fait que le CRTC ait aboli le Fonds pour l’amélioration de la programmation locale (FAPL) n’a pas aidé. On espère que le CRTC reconsidérera sa décision sur le FAPL avant qu’il ne soit vraiment trop tard. D’ailleurs, on aurait souhaité plus de leadership de la part de la direction», de conclure la présidente du SCFP 675.

Le gouvernement doit établir des lignes directrices claires pour le financement des bibliothèques scolaires

FREDERICTON (22 avril 2013) : Le syndicat qui représente les employés des bibliothèques scolaires, le SCFP section locale 2745, demande au gouvernement de fournir des ressources adéquates pour le maintien de ces infrastructures.

« Depuis plusieurs années, le financement des bibliothèques scolaires diminue, surtout pour l’achat de matériel et le nombre d’heures allouées pour les employés », explique Sandy Harding, présidente de la section locale 2745 du SCFP, le personnel de soutien à l’éducation.

« Le financement réservé aux bibliothèques scolaires n’est pas adéquat. La formule de financement prévoit un employé à temps plein (36,25 heures par semaine) pour mille élèves par district scolaire. Cela veut dire que dans les petites écoles où il y a une bibliothèque, l’employé est à temps partiel – de nombreuses bibliothèques n’ont pas d’employé. »

« De plus, le financement affecté à l’achat de livres pour les bibliothèques scolaires n’est que de 9 $ par élève par année. Nous demandons au ministère de l’Éducation d’établir des lignes directrices claires sur la façon dont cet argent est utilisé. Actuellement, le financement réservé aux bibliothèques scolaires ne se fait pas de façon transparente; il en revient à chaque district scolaire, et même dans certains cas aux écoles elles-mêmes, de décider comment l’argent destiné aux bibliothèques scolaires est dépensé. Il n’y a aucune garantie que l’argent est dépensé entièrement pour les bibliothèques scolaires. »

« Nous savons tous que la littéracie est un enjeu de taille dans la province. Plus de la moitié des Néo-Brunswickois adultes (56 pour 100 de la population de langue anglaise et 66 pour 100 de la population de langue française) ne possèdent pas un niveau de littéracie adéquat pour s’engager pleinement au sein de leur collectivité. »

« La première chose à faire pour contrer ce problème de littéracie, c’est pour les enfants d’avoir accès aux livres dans leur école. Les élèves devraient pouvoir aller à la bibliothèque en tout temps durant leur journée à l’école et pouvoir mettre la main sur des livres de tout genre. L’approche en littéracie commence avec une collection de livres renouvelée, en bon état et prête à être utilisée. Nos bibliothèques ont aussi besoin d’équipement et de matériel multimédia comme des tableaux interactifs, des tablettes électroniques, des tablettes de lecture, des livres électroniques, un plus grand nombre d’ordinateurs et d’autres ressources. Les nouvelles technologies devraient faire partie d’une stratégie bien préparée en littéracie. »

« L’an dernier, le 23 avril lors de la Journée du livre du Canada, le premier ministre David Alward a accepté notre invitation de lire un livre à des enfants dans une bibliothèque scolaire. Nous savons que le premier ministre Alward comprend bien le rôle important joué par les bibliothèques scolaires. Cette année, nous lui demandons de s’engager à fournir les ressources appropriées à ces infrastructures pour que les enfants de partout au Nouveau-Brunswick puissent avoir à portée de main des livres et toutes les ressources d’une bibliothèque scolaire. »

Le Nouveau-Brunswick compte environ 200 employés dans les bibliothèques scolaires. Le 23 avril est la Journée du livre du Canada, une journée de sensibilisation à l’importance des livres et de la lecture. Le mémoire sur les bibliothèques scolaires peut être téléchargé à partir du site Web du SCFP 2745 : www.cupe2745.net

Le temps est venu d’élargir le RPC

Fredericton (11avril 2013) : Plus de 300 délégués présents au 50e congrès annuel du Syndicat canadien de la fonction publique du Nouveau-Brunswick (SCFP NB) à Fredericton ont demandé au gouvernement fédéral de doubler progressivement les prestations du Régime de pensions du Canada (RPC) pour tous les travailleurs et travailleuses du Canada.
« Cette décision fera une différence considérable dans la vie des travailleuses et travailleurs canadiens, surtout en période d’insécurité grandissante relative à la retraite », a déclaré Daniel Légère, président du SCFP NB.
En juin prochain, les ministres des Finances d’un bout à l’autre du pays se rencontreront pour discuter de la bonification du Régime de pensions du Canada.
« La majorité des ministres provinciaux des Finances sont d’avis qu’il est temps d’élargir le RPC et désirent ardemment en discuter en juin prochain. Au Nouveau-Brunswick, notre tâche est d’autant plus ardue, car le premier ministre David Alward n’a pas encore souscrit à l’idée de bonifier le RPC. Nous pouvons aider et insister pour un réel changement en mettant l’accent sur la sécurité des retraites », a ajouté M. Légère.
« De plus en plus de Canadiens font face à l’incertitude quant à leurs plans de retraite. Au-delà de six travailleurs canadiens sur dix ne bénéficient pas d’un régime de pension au travail et les Canadiens n’ont pas les moyens de contribuer à des systèmes privés d’épargne comme des REER. En fait, moins d’un quart des contribuables canadiens ont versé une telle contribution l’an dernier. »
« En augmentant graduellement les contributions au RPC d’environ 3 % sur une période de 7 ans, les Canadiens recevront — en fin de compte — 50 % de leurs revenus à titre de prestations de RCP, au lieu de 25 %, comme c’est le cas actuellement.
« Rehausser la sécurité des retraites devrait être une priorité pour le gouvernement et la bonification du RPC est la meilleure façon d’y parvenir, et ce, pour aider les travailleurs à prendre leur retraite dans la dignité. »
Les délégués ont également signé une pétition demandant aux ministres des Finances de se pencher sur cette importante question prestement.

Le 50e congrès annuel du SCFP NB s’ouvre cet après-midi

FREDERICTON ( 10 avril 2013): Le 50e congrès annuel du SCFP NB s’ouvre et après-midi à Fredericton

Plus de 300 délégués participeront au 50e congrès annuel du SCFP NB cette semaine à Fredericton.

Les délégués discuteront du besoin d’avoir un syndicat fort et des façons de d’affronter des négociations difficiles dans la province.

Paul Booth de l’American Federation of State, County and Municipal Employees (AFSCME) partagera avec les délégués les attaques contre les syndicats du secteur public au Wisconsin.

Lors de ce 50 congrès, les délégués rendront hommage aux anciens présidents et directeurs régionaux du SCFP NB.

ACTIVITÉ : Congrès annuel du SCFP Nouveau-Brunswick
DATE : Du mercredi 11 avril 2012 à 13 h au samedi 13 avril 2013
LIEU: L’auberge Fredericton Inn
INVITÉS:

Daniel Légère. Président SCFP NB – le mercredi 10 avril à 13 h
Paul Moist, Président national du SCFP le jeudi 11 avril à 10 h 30
Paul Booth, American Federation of State, County and Municipal Employees (AFSCME) – le vendredi 12 avril à 9 h
Charles Fleury, Secrétaire-trésorier national du SCFP – le samedi 13 avril à 11 h